msMITIC 2019

SEQ 2 : création d’un quizz par les élèves en fin de séquence

01.07.2021

Marine Eady avatar. Marine Eady

SEQ 2 : création d’un quizz par les élèves en fin de séquence
 
Contexte 
Introduction :
Comme je reste toute l’année dans mon établissement de stage, j’ai réfléchi à comment impliquer les élèves dans la démarche des MITIC et du numérique puis m’est venu l’idée que pour une fois cela soit eux qui créent un quizz en fin de séquence afin d’évaluer leurs apprentissages et ceux de leurs camarades. Le but est non seulement de les former à un nouvel outil technologique, mais également qu’ils soient acteurs/créateurs et non pas seulement participants ou témoins Cette séquence est donc prévue en histoire pour une classe de l’école de la transition mais peut très bien être utilisée dans des classes de 11e. Le but serait de d’abord faire une synthèse de la séquence puis de présenter Socrative aux élèves et comment cela fonctionne pour qu’ils puissent créer un quizz en groupes et finalement le faire passer aux autres élèves de la classe. Chaque élève testerait le quizz de chaque groupe.
Le contexte de l’école de la transition a fait que j’ai dû modifier ma séquence du fait qu’elle a été groupée avec une autre séquence prévue dans un autre cours. Dans cette école, le but premier des élèves est de définir et concrétiser un projet professionnel, c’est-à-dire que la majorité de mes élèves préparent des dossiers de postulations afin de trouver une place d’apprentissage. De plus, la situation sanitaire a quelque peu perturbé à la fois leur fin de scolarité et leur recherche d’apprentissage et cela se voit à leur motivation et aux nombreuses absences. L’autre séquence avec laquelle celle-ci a été groupée a justement comme objectif d’intéresser les élèves et de les rendre acteurs plutôt que spectateurs du cours d’histoire. L’idée est qu’ils créent dans un premier temps une présentation PowerPoint sur l’histoire du métier dans lequel ils aimeraient se former (de l’Antiquité à aujourd’hui) qu’ils doivent ensuite présenter oralement à la classe. Dans un deuxième temps ou presque en parallèle en l’occurrence, ils créent un quizz sur Socrative sur leur présentation et auquel les autres élèves répondent directement après la présentation orale. 
Utilité du numérique : 
Ici l’utilisation du numérique se fera avec l’application Socrative qui permet de créer différents quizz et que j’utilise souvent en ce moment lors de remplacements pour les tests de vocabulaire en allemand. Cela permet de leur faire découvrir un nouvel outil et qu’ils apprennent à l’utiliser et à maitriser ses fonctions principales pour ensuite le réutiliser dans le futur autant en histoire que dans un autre domaine. Cette utilisation du numérique leur permet également de découvrir des banques d’images libres de droit qu’ils pourront inclure dans leur PowerPoint et leur quizz. 
Une évaluation sans MITIC est tout à fait possible et même beaucoup plus fréquente dans les classes. Elle rendrait simplement la tâche moins ludique et plus ordinaire autant du point de vue des élèves que de celui des enseignants. Pour reprendre le modèle SAMR[1] (substitution, amélioration, modification, redéfinition, la séquence se situerait entre amélioration et modification car le numérique permet de rendre une évaluation plus ludique et également d’engager les élèves dans le processus en créant leur propre évaluation.  Nous ne sommes pas tout à fait dans l’étape de modification puisque l’utilisation du numérique n’apporte pas de fonctions supplémentaires qui ne seraient pas disponibles autrement. 
De manière générale, les élèves ont réussi à prendre en main Socrative plutôt facilement. Une fois la marche à suivre expliquée ils ont réussi à se lancer dans la création de leur quizz. Elle peut s’avérer complexe aux premiers abords, notamment pour ajouter une nouvelle question ou passer à la prochaine question mais une fois expliqué ils n’ont eu aucun mal à terminer leur quizz. Le seul désavantage de Socrative est que l’interface est en anglais et qu’à priori il n’est pas possible de la changer. J’ai donc dû leur traduire les trois possibilités de questions (choix multiple, réponse courte, vrai-faux). J’ai également dû insister sur le fait qu’avant de quitter Socrative ou si le quizz est terminé il ne suffit pas de fermer la fenêtre Internet pour que cela soit sauvegardé mais qu’il fallait cliquer sur « save and exit » pour s’assurer que leur quizz soit bien sauvegardé et pas qu’ils doivent tout recommencer. L’imprévu majeur a été le fait que les élèves ne pouvaient pas être plusieurs à utiliser mon compte Socrative. En effet, je ne voulais pas leur faire créer un compte pour cette séquence et leur ai donné mes accès mais il s’est avéré que cela n’est pas possible, car ils étaient déconnectés automatiquement au bout de quelques minutes et devaient chaque fois se reconnecter. Je leur ai donc fait créer un compte. Cela prend à peine 2 minutes et ne demande pas de confirmation d’inscription ou quoi que ce soit donc c’est quelque chose de faisable avec les élèves et ils peuvent réutiliser Socrative plus facilement pour une prochaine séquence. 
Compétences enseignantes :
L’enseignant doit maitriser l’outil Socrative et être capable de présenter sa prise en main et son utilité aux élèves. Il doit également être à l’aise avec les différentes plateformes et de manière générale en informatique afin de pouvoir intervenir en cas de problème. Pour réaliser cette activité, il faut avoir validé la compétence « création d’un quizz sur Socrative ». 
J’ai choisi Socrative car comme expliqué dans l’introduction, c’est un outil que j’avais utilisé fréquemment pendant plusieurs mois pour tester les élèves sur le vocabulaire allemand. Les possibilités offertes avec la version gratuite sont suffisantes pour ce genre d’activité, il y a plusieurs types de questions et l’on peut ajouter des images. En comparaison, sur Kahoot il n’y a que deux types de questions possibles dans la version gratuite. J’avais déjà utilisé Quizizz pour un test de vocabulaire d’allemand mais les élèves n’avaient pas aimé car ils ne pouvaient pas naviguer entre les questions, passer et ensuite revenir en arrière, donc j’avais continué avec Socrative. Comme j’avais utilisé d’autres outils, je ne les ai pas comparés au préalable et me suis tournée directement vers Socrative qui était celui que j’avais le plus utilisé. 
 
Alignement pédagogique 
Objectifs :
La découverte de Socrative donne la possibilité aux élèves de l’utiliser dans d’autres séquences que cela soit en histoire ou d’autres branches. Socrative est ici utilisé comme un outil d’évaluation formative, mais peut très bien être utilisé comme un outil d’évaluation diagnostique au début d’une séquence. Je choisis l’évaluation formative[2] plutôt que sommative car ici le but de l’activité n’est pas de mettre une note aux élèves mais de les familiariser avec un nouvel outil afin qu’ils puissent autoévaluer ce qu’ils ont appris durant la séquence étudiée, et également d’observer quels éléments ils considèrent comme importants à intégrer dans un quizz pour tester les connaissances de leurs camarades sur le sujet. Cela leur permet de faire le point dans leurs apprentissages et de pouvoir ensuite s’autoréguler en fonction des résultats obtenus. Cela leur permet de prendre conscience de leurs points forts tout comme des lacunes qu’ils pourraient avoir sur le sujet traité afin d’identifier là où ils doivent progresser pour être prêts pour une éventuelle évaluation sommative.
Le contexte dans lequel s’est déroulé cette séquence étant très complexe, j’ai dû m’adapter à la réalité de la classe et au fait qu’il y avait beaucoup d’élèves absents et de ce fait la séquence a pris plus de temps que prévu à être mise en œuvre. Comme le quizz a lieu directement à la fin de la présentation orale, une évaluation sommative aurait été pénalisante pour les élèves n’ayant pas réussi à retenir les informations nécessaires et cela ne serait pas juste de leur mettre une note sur les informations qu’ils ont retenues en vingt minutes, cela serait plutôt un test de mémoire que de connaissances.  
Bien qu’à l’école de la Transition il n’y ait pas de plan d’études ou de programme spécifique, je me suis alignée sur certains objectifs du PER pour construire cette séquence. Pour l'histoire, leurs recherches sur l'histoire du métier à travers le temps leur permet de travailler l'objectif SHS32 "analyser l'organisation collective des sociétés humaines d'ici et d'ailleurs à travers le temps" et plus précisément le sous-objectif "études des permanences et changements dans l'organisation des sociétés". Concernant les MITIC (FG31), il y a l’aspect éducation aux médias avec la sensibilisation aux droits d’auteurs, d’images en leur présentant des banques d’images libres de droit qu’ils peuvent utiliser. 
Style pédagogique :
Le rôle de l’enseignant est principalement d’encadrer les élèves dans la découverte de Socrative et de les guider dans la prise en main des fonctionnalités. Il n’intervient que si l’élève en fait la demande ou s’il voit que l’élève a de la peine à utiliser Socrative. Il n’intervient pas concernant le choix des questions, à part si elles ne sont vraiment pas en lien avec la séquence. Il apporte également des explications concernant les résultats des élèves aux quizz en les aidant à comprendre leurs erreurs pour les aider dans la progression de leurs apprentissages. 
Le rôle des élèves sera de se mettre par groupe afin de créer le quizz et réfléchir ensemble aux questions qui leur semblent le plus pertinentes à poser. Par la suite, ils devront, de manière individuelle, répondre aux quizz de leurs camarades. A la fin de la séquence, il y aura un moment de partage durant lequel les élèves et l’enseignant échangent sur les différents quizz crées en proposant des pistes de régulations/améliorations. 
Du fait que la séquence a été modifiée, les élèves ont travaillé de manière individuelle même si plusieurs élèves travaillaient sur le même métier. De ce fait le quizz a été crée par un seul élève qui a dû faire en sorte que les questions correspondent à son PowerPoint. De manière générale cela s’est bien déroulé, j’ai laissé les élèves choisir les questions qu’ils voulaient poser en leur présentant les critères (7 à 10 questions, chaque période historique doit figurer, au moins 3 images) puis je suis intervenue de temps à autre pour voir où ils en étaient et m’assurer qu’ils allaient dans la bonne direction surtout concernant le lien entre les questions et leur présentation car certains avaient tendance à poser des questions qui n’étaient pas vraiment en lien avec ce qu’ils avaient mis dans leur présentation. Donc je leur précisais qu’il fallait que leurs camarades soient capables de répondre à leur quizz en ayant assisté à leur présentation orale et que la réponse de leur question devait être dans leur présentation orale ou leur PowerPoint.  Je suis également intervenue pour corriger la formulation des questions et corriger quelques erreurs d’orthographe. Les élèves quant à eux ont rempli leur rôle en s’appropriant l’utilisation de l’outil proposé et en répondant aux quizz de leurs camarades. 
Evaluation : 
L’évaluation est donc formative afin d’aider les élèves à identifier leur progression ou le cas échéant les lacunes qu’ils ont suite à la séquence. Cela les aide ensuite à réguler leur façon de travailler ou d’apprendre afin de combler ces lacunes et de continuer à progresser. Lors de la correction des différents quizz, il peut y avoir plusieurs types d’erreur possibles. Tout d’abord, il se peut que l’élève ait simplement mélangé des dates ou des événements, il se peut également qu’il se soit plutôt focalisé sur un axe du sujet traité (p.ex. la course à l’armement et à la conquête spatiale durant la Guerre froide plutôt que les affrontements militaires Est-Ouest) et qu’il ait donc des lacunes dans un des axes présentés. Finalement, il est possible que l’élève ait de plus grandes lacunes sur les grandes lignes générales du sujet et cela pourrait très bien signifier que le sujet ne l’a pas particulièrement intéressé, mais cela peut aussi dire qu’il a rencontré des difficultés à réguler son apprentissage du sujet étudié et dans ce cas-là il peut être nécessaire de discuter avec le ou les élèves concerné-s afin de les aider dans cette régulation.  
Bien que le sujet étudié ait été modifié, l’évaluation s’est déroulée comme prévue, j’ai accompagné les élèves dans la prise en main et la création de leur quizz mais uniquement lorsqu’ils le demandaient. C’est-à-dire que je n’allais pas vérifier que les critères soient remplis, ils m’appelaient si nécessaire, par exemple pour savoir comment ajouter une image ou quelle banque de données utiliser, mais sinon je passais simplement entre les élèves en observant de loin leur progression. Ce n’est que lorsqu’ils ont terminé leur quizz que j’ai vérifié que tous les critères étaient remplis et que les questions étaient pertinentes. De ce côté-là, j’ai parfois dû recadrer les questions afin qu’elles soient dans le sujet car certains élèves avaient tendance à poser des questions qui ne portaient pas forcément sur l’histoire du métier et son évolution. J’ai également dû faire attention à ce que les questions ne soient pas trop difficiles ou au contraire trop facile. Par exemple, une question était «  qui a inventé l’imprimerie ? » et les trois propositions étaient « Gutenberg, Mike Tayson ou Donald Trump », donc j’ai demandé à l’élève de remplacer une des deux mauvaises réponses par le nom d’une personne liée à son métier mais qui avait développé autre chose afin que cela mette un peu de doute dans la tête de ses camarades lorsqu’ils doivent répondre. L’évaluation était donc formative afin d’aider les élèves à acquérir un nouvel outil numérique qu’ils peuvent ensuite réutiliser dans différents contextes d’apprentissages. Cette évaluation s’est fait principalement à travers l’observation de l’enseignant durant la séquence. Ainsi, il peut se rendre compte des difficultés des élèves à prendre en main l’outil proposé et intervenir afin d’aider l’élève. Ils ont certains critères à respecter pendant la création de leur quizz : ils doivent créer entre 8 et 10 questions, il faut que chaque époque historique soit présente dans le quizz au moins une fois et qu’il y ait au moins trois images. L’enseignant vérifie pendant le processus de création que ces critères soient respectés. 

De ce que j'ai pu observer et par rapport aux réponses de chacun aux quizz des autres, les élèves semblent avoir acquis des connaissances à la fois sur le métier traité mais également sur le métier de leurs camarades. En effet, les scores de chacun variait entre 50% et 90% de réponse juste pour chaque quizz. La phase de réponse aux quizz s'est déroulée directement à la fin de la présentation de leur camarade durant laquelle les élèves étaient en général attentifs. Du fait que l'évaluation via le  quizz était formative, les élèves répondaient de manière détendue et rapide (en moyenne le quizz durait 5 minutes), ce qui me faisait craindre des mauvaises répondre mais au final les scores étaient plutôt bons. 
 
Voici quelques extraits des quizz réalisés par les élèves :

 
Gestion de la classe 
Éducation aux médias :
Pour l’aspect de l’éducation des médias, le but est ici de les familiariser avec un nouvel outil numérique et à son utilisation. Cela permet aussi que les élèves découvrent une autre fonction des appareils numériques, que cela soit leur téléphone portable ou leur ordinateur, tablette, que celles qu’ils utilisent normalement. Ils découvriront que Socrative leur permet d’insérer des images dans leur quizz ce qui rend nécessaire une sensibilisation aux droits d’auteur et à la notion de copyright. Pour cela, l’enseignant présente aux élèves le site snappygoat (https://snappygoat.com) qui est une bande d’images libres de droit, et leur explique comment trouver leur image et s’assurer qu’elle n’est pas protégée. Cela se fait en cliquant sur le site mentionné sur snappygoat en dessous de l’image et qui la met à disposition pour ensuite repérer le logo indiquant qu’il n’y a pas de copyright : 


 
Du fait que la majorité des élèves avait déjà été sensibilisée aux notions de droits d’images lors d’une séquence précédente, j’ai simplement dû expliquer aux élèves qui ne connaissaient pas le site, comment trouver des images et s’assurer qu’elles soient libres de droits. Par la suite ils ont tous été capables de trouver des images. 
Planification :
La séquence a lieu durant le 2e semestre de l’année scolaire avec les élèves de l’école de la transition, et se déroule sur cinq périodes. L’enseignant doit, pour les périodes 2, 3 et 4, réserver une salle d’informatique. 
Du fait qu’ils travaillent en groupe, il peut arriver qu’un élève fasse tout le travail et crée le quizz en fonction de ce qu’il pense être pertinent. Ici l’enseignant peut demander à ce que chaque élève rédige 3-4 questions auxquelles l’enseignant jettera un œil avant que les groupes commencent la création du quizz. En revanche l’enseignant ne fait aucun commentaire sur les questions choisies par l’élève car le but est de voir ce qu’eux ont trouvé pertinent et important à retenir de la séquence. Ainsi pendant le déroulement de l’activité il peut vérifier que les questions de chaque élève soient présentes dans le quizz du groupe. Le but est que les élèves soient autonomes et collaborent entre eux, discutent quelles questions ils veulent poser etc. cependant on voit souvent que dans les travaux de groupe, il y a un élève ou deux qui travaillent et les autres qui les regardent faire. La supervision de l’enseignant permet donc d’éviter cela tout en les laissant libre dans le choix des questions. 
Du côté de la planification, j’ai rencontré beaucoup de problèmes dus en partie aux absences répétées des élèves et également à un certain manque de planification de ma part. Je n’avais pas de planning défini dans lequel chaque étape avait une durée spécifique, par exemple consacrer deux ou trois semaines à la création du PowerPoint (nécessaire pour créer le quiz) et ensuite une semaine pour la création du quizz. De plus, je me suis laissée influencée par le cadre relativement large de l’établissement où il n’y a pas la pression du programme ou des notes à donner aux élèves. J’ai voulu faire en fonction des élèves et de leur rythme et je me suis rendue compte que cela n’était pas possible. La séquence a débuté au mois de février avec les recherches d’informations concernant la création des PowerPoint et c’est seulement en mai que les élèves ont terminé la séquence. Avant les vacances de Pâques j’ai décidé de leur donner des dates limites pour lesquelles ils devaient avoir terminé ainsi que des dates pour les présentations orales (et les quizz), qui au final ont dû être décalées d’une semaine. Et j’ai dû me concentrer sur les élèves qui avaient été le plus présents et qui avaient bien avancés et donc mettre de côté les autres élèves en leur donnant du temps pour avancer dans leurs postulations. Le seul point où je n’ai pas rencontré de problèmes c’est pour la réservation de la salle informatique, du fait que celle située à l’étage de la classe était disponible lors des périodes prévues pour la séquence. 
Concernant l’usage du numérique, j’avais imprimé le mode d’emploi de Socrative au cas où les élèves auraient des difficultés à le prendre en main mais au final je n’en ai pas eu besoin car les élèves ont rapidement su se l’approprier et l’utiliser. Durant la phase de création des quizz, les élèves ont montré plus d'intérêt que pendant les recherches ou la création du PowerPoint et n'ont pas rencontré de problèmes particuliers hormis ceux concernant la connexion à Socrative. La création n'a pas pris trop de temps et les élèves ont compris comment ajouter des images issues de banques d'images assez facilement. 
Déroulement : 
Comme la séquence a duré plusieurs mois au lieu de quelques périodes, je n’ai pas préparé de déroulement précis période par période. En revanche, si l’on se tient uniquement à la création d’un quizz et que tous les élèves sont présents durant la séquence, je pense que la planification originalement prévue peut être suivie sans problème car la prise en main de l’outil ne devrait pas créer de problème. Par contre, il faut prévoir un moment pour la création d’un compte sur Socrative, chose que je n’avais pas prévue mais qui ne devrait pas prendre plus de 5min. 
Première période :
·      Synthèse de la séquence/questions éventuelles
·      Rédaction de 3-4 questions par chaque élève 
·      Réserver la salle d’informatique 
Deuxième période :
·      Présentation de l’outil Socrative et des différentes fonctionnalités ainsi que des exemples. Création d’un compte. 
·      Début de la création du quizz par les élèves et supervision de l’enseignant 
Troisième période :
·      Fin de la création des quizz
Quatrième période :
·      Les élèves font les quizz des autres groupes de manière individuelle
·      Mise en commun des résultats de chacun
Cinquième période :
·      Discussion sur les quizz : partage d’idées et de pistes de régulations 
Bibliographie :
Levy, A.. (2017). SAMR, un modèle à suivre pour développer le numérique éducatif. Technologie: Techno sans frontière, 206.
 
Mastracci, A. (2017). L’évaluation formative comme aide à l’apprentissage. Pédagogie collégiale, 30(4), 22‑28. Consulté à l’adresse https://eduq.info/xmlui/bitstream/handle/11515/35707/mastracci-30-4-2017.pdf?sequence=2
 
 
[1] Alain Lévy, « SAMR, un modèle à suivre pour développer le numérique éducatif », Technologie, 2017, pp.8-13.[2] Angela Mastracci, « L’évaluation formative comme aide à l’apprentissage », Pédagogie collégiale, 2017, pp.22-28.